
Sinon, j'ai fini Avalanche Hôtel de Niko Tackian, un thriller trop prévisible mais plutôt efficace.
Et je lirais cette semaine la nouvelle d'Emmanuel Quentin publié chez 1115 éditions.
Merci de prendre soin de ma PAPL (pile à pas lire). Déjà le titre et la couv me font peur, va pas demander le contenu...Yogo a écrit :je lis Le temps n'est rien d'Audrey Niffenegger, un livre plein de bon sentiments, bref un livre pour notre ami canin
Il s'agit de la traduction un peu trop littérale du singular they anglais qui est un pronom neutre de nos jours utilisé pour (et par) les personnes de genre indéfini.Hoel a écrit : (Bon, j'avoue que jusqu'à la fin, je n'ai pas compris pourquoi Soq se définit au pluriel).
C'est ce que j'adore dans ce livre. Quand ça part en sucette, ça part vraiment en sucette, dans les grandes largeurs. Ada Palmer n'a aucune retenue.Alias a écrit : Je viens de passer le chapitre où tout part complètement en sucette dans un bordel du XVIIIe siècle recréé: c'était grand.
Si je ne suis pas aussi négatif que toi sur le Eric Brown, j'étais cependant quand même bien déçu par l'ouvrage. Notamment par rapport à ce que me vendait la préface avec son name dropping. En fait, j'en veux même un peu à l'éditeur. Cela fait des années que j'entends le nom de Brown revenir ici et là. Apparemment l'auteur a vraiment écrit des trucs intéressants. Mais nous proposer ça en guise de réintroduction à l'auteur pour le lectorat français, c'est avoir grillé une cartouche pour rien. Le Bélial n'est pas près de m'en revendre et c'est bien dommage.Hoel a écrit :J'ai donc lu Les ferrailleurs de l'espace et me suis royalement ennuyé, une intrigue cousue de câble blanc avec des ficelles grosses comme des cordes. Sur les mêmes thématiques, Becky Chambers s'est bien mieux débrouillée avec L'espace d'un an et surtout Libration.
Raaah... Pas eu le temps de l'acheter. Je relis Le Système Valentine, du coup...Hoel a écrit :Là, je suis au milieu de Blues pour Irontown de John Varley et je me tape des fou-rires en cascades à lire les rapports de Sherlock, le chien véritable héros du bouquin.